Aujourd'hui, les ...
Frohoggy. Peuple. Membres de l’AMU.
Les Frohoggy sont membres de l’AMU depuis une
trentaine d’années. Ils sont originaires du système Noreur, dans l’Amas
Euroxident. Ce système compte deux mondes habités : Roihiaumuny, peuplée
par les Rouhousbeef, et Lafrensse,
habitée par les Frohoggy. Les deux
planètes sont séparées par une zone de turbulences magnético-abrasives, nommée
la Manshannelle. Les deux peuples ont longtemps connu une guerre plus ou moins
ouverte et passionnée, accumulant les rancœurs et les ressentiments. A
l’origine de cette animosité, plusieurs revendications territoriales et un
imbroglio politique impliquant les deux familles dirigeant les deux mondes. A
un point récent de leur histoire, cette atmosphère délétère à faillit se
conclure par un conflit interplanétaire majeur. C’est alors qu’un Explorateur
Galactique, l’AES Vaillant, en
mission d’exploration dans le secteur, eu des problèmes techniques et se mit à
dériver dans la Manshannelle. Après l’appel au secours émouvant lancé par son
capitaine, le Bétableurk Laidé’Zoncheté, les Rouhousbeef et les Frohoggy mirent
de côté leur querelle pour lui porter secours, ce qui permis l’intégration des
deux peuples dans l’AMU.
Les Frohoggy sont des humanoïdes de taille moyenne,
sans traits physiques particuliers, mais
invariablement forts en gueule. Beaucoup de peuples ne supportent pas l’odieuse
arrogance des Frohoggy, qui croient toujours tout savoir et le disent sans
cesse. Mais ce sont en fait de braves personnages, courageux et fidèles. Les
Frohoggy sont réputés pour leur amour –paradoxal- de l’ordre et le foutoir
total de leurs institutions. Ils ont sût développer une civilisation originale,
où l’amour des choses bien faites le dispute à la nonchalance et à l’esprit
bohême. Ils sont également réputés pour leur talent dans la fabrication de
nombreux spiritueux de très grande qualité, et pour une spécialité culinaire
nationale : la Bhagett. Habituellement, ils portent d’un air hautain leur
couvre-chef traditionnel, le Bhairai, et des vêtements adaptés à leur
occupation, mais toujours subtilement débraillés. Les femmes ont la réputation
d’être très indépendantes et, même si elles sont aussi bordéliques que les
hommes, tout de même plus réalistes qu’eux.