vendredi 19 novembre 2010

Héritiers de Paadbôl (8)

Et voilà ! la quatrième et dernière partie de l'article consacré aux échecs mégariens. AAaaaaaaaaaaaah la satisfaction du devoir accompli !

Les Mégariens considèrent les échecs avec beaucoup de sérieux. Des tournois sont régulièrement organisés et ils sont très codifiés. Chaque Mégarien est également classé selon un complexe système de points (régulièrement sujet à controverse) et reçoit un titre en fonction de son classement. On peut citer parmi ces titres le Spanozi, le P’Ôhl Rikeur ou l’illustre Béhachel.
Deux Mégariens finissent toujours pas parler des échecs, et bien entendu, de leur classement respectif. S’il n’influe en rien sur leurs relations, le classement reste un bon moyen pour chacun d’entre eux de savoir à qui il a affaire.

mercredi 17 novembre 2010

Héritiers de Paadbôl (7)

On continue avec cet article qui manifestement déclenche l'enthousiasme de la foule en délire. Voici la troisième partie consacrée aux ...

Échecs mégariens (3)

Aux échecs mégariens, il existe presque 200 pièces différentes, chacune avec des caractéristiques particulières, même si les « pièces courantes » sont au nombre de 23. On peut citer le Taille-Pouce déjà mentionné, l’Acornit (une sorte de plante à cornes) ou la Pyneup (Une magnifique –et plantureuse !- Mégarienne entièrement nue mis à part une diaphane étole stratégiquement drapée).
Dans beaucoup de familles mégariennes, on se transmet de génération en génération des exemplaires magnifiques de ce jeu, qui ne sont jamais complets. En effet, les pièces se perdent avec facilité, ou mieux, s’échangent ou se donnent. Car les pièces d’échecs mégariens font des présents de choix pour honorer des personnes que le Mégarien apprécie, ou un parent qu’on n’a pas vu depuis longtemps.
Les plus vieux exemplaires du jeu sont donc soit incomplets, soit composés de pièces provenant d’autres jeux.

lundi 15 novembre 2010

Héritiers de Paadbôl (6)

Bon...j'eus pensé qu'un tel article amènerait des réactions... . Manifestement, tout le monde est beaucoup trop occupé ! Mais c'est pas grave. Un jour, les dieux du jeux de rôles m'élèveront à leur côté. Je recevrai l'absolution pour tout mes crimes (et notamment un amour immodéré pour le chocolat et le sorbet au citron). Je continue, avec la suite de cet article passionnant sur un des jeux les plus pratiqués dans la galaxie. Si d'ailleurs des éditeurs de jeux de plateaux lisent ce blog, qu'ils sachent que je me tient près à leur fournir les règles exhaustives des échecs mégariens (qui équivalent à trois bottins de la région parisienne, écrits en caractères deux fois plus petits).
Donc:

Les échecs mégariens (partie 2)

Il existe une cinquantaine de façons différentes de remporter une partie (même si, couramment, on en retient une dizaine seulement). Avant le début de chaque confrontation, il faut se mettre d’accord entre joueurs sur les conditions de victoire, certaines de ces variantes impliquant en effet de jouer jusqu’à épuisement complet d’un des adversaires ou même à mort (cette dernière variante n’est heureusement plus pratiquée depuis une centaine d’années).

samedi 13 novembre 2010

Héritiers de Paadbôl (5)

Mes amis, voici la première partie de l'article sur ...

Les échecs mégariens
Sans doute le plus connus des loisirs mégariens, ce jeu est multi-millénaire. On dit que Paadbôl lui-même en aurait inventé le concept, avant d’abandonner en plein milieu de la conception des pièces (Il semblerait qu’il se soit ouvert la main en façonnant la pièce dite « Le Taille-Pouce ». Certains récits apocryphes font d’ailleurs de ce premier malheur le début de la suite de catastrophes ayant amené Paadbôl à s’exiler et, bien plus tard, a formuler ses théories sur le Hasard Cosmique).
C’est Yog-Urt, autre penseur mégarien de renom qui, 300 ans plus tard, devait mettre au point les règles définitives du jeu. Cependant, il existe de nombreuses variantes venues s’ajouter au corpus de règles (déjà touffu à la base…).
Aux Echecs mégariens, bon nombre de facteurs sont évidemment aléatoires : le nombre de pièces possédées par chaque joueur, leur type, leur placement au début du jeu ; le nombre et la forme des dés, les cartes et les jetons nécessaires ; la forme même du plateau de jeu (qui est modulaire, les pièces permettant de le former étant de toutes formes et de toutes tailles) ; tout est choisit au hasard, par de complexes procédés algorithmiques faisant appel à la Théorie du Chaos ultime.

mercredi 3 novembre 2010

FFE, vingt-quatrième extrait

Alors là, si ça vous tombe pas dessus un jour ou l'autre... voici le

Surgénérateur à particules. Équipement (p. 38)
Grand comme une armoire, le surgénérateur à particules a pour faction d’alimenter le moteur à distorsion d’un vaisseau en particules de neutralium. Ces particules annulent 99 % des radiations émises par le moteur, ce qui permet aux mécaniciens du vaisseau de travailler sans avoir besoin de porter en permanence d’encombrantes combinaisons anti-radiations. Bien sur, si le surgénérateur à particules tombe en panne ou est saboté (par exemple et au hasard), les radiations du moteur vont irradier toute la salle des machines.

lundi 1 novembre 2010

FFE, vingt-troisième extrait

Un petit article sur le ...

Positroneur. Équipement (p. 38)
Pièce d’équipement indispensable du système de survie d’une navette qui a la fâcheuse habitude de se déconnecter invariablement au plus mauvais moment.
Malheureusement, reconnecter un positronneur est une opération délicate qui, bien entendu, doit toujours –et comme un fait exprès- avoir lieu dans la précipitation et /ou dans des circonstances peu propices.