Bon...j'eus pensé qu'un tel article amènerait des réactions... . Manifestement, tout le monde est beaucoup trop occupé ! Mais c'est pas grave. Un jour, les dieux du jeux de rôles m'élèveront à leur côté. Je recevrai l'absolution pour tout mes crimes (et notamment un amour immodéré pour le chocolat et le sorbet au citron). Je continue, avec la suite de cet article passionnant sur un des jeux les plus pratiqués dans la galaxie. Si d'ailleurs des éditeurs de jeux de plateaux lisent ce blog, qu'ils sachent que je me tient près à leur fournir les règles exhaustives des échecs mégariens (qui équivalent à trois bottins de la région parisienne, écrits en caractères deux fois plus petits).
Donc:
Les échecs mégariens (partie 2)
Il existe une cinquantaine de façons différentes de remporter une partie (même si, couramment, on en retient une dizaine seulement). Avant le début de chaque confrontation, il faut se mettre d’accord entre joueurs sur les conditions de victoire, certaines de ces variantes impliquant en effet de jouer jusqu’à épuisement complet d’un des adversaires ou même à mort (cette dernière variante n’est heureusement plus pratiquée depuis une centaine d’années).
Il y a environ quelques centaines d'années, un proche de Yog Urt, Musso Chok o'La, a décidé de tirer au sort les conditions retenues pour gagner (si toutefois le concept de gagner peut avoir un sens dans ce jeu), la mort n'étant fort heureusement et grâce au hasard plus une option.
RépondreSupprimer