Hello chombattas, et Joyeuse Saint Valentin !!!
Aujourd'hui, un article bien sûr, mais aussi truc un peu spécial, et un peu bizarre aussi, et que je m'explique pas... Nous allons fêter, mes amis, le cinquième anniversaire de la parution de l'article le plus consulté de ce blog, figurez vous !! Et c'est étonnant, ça, ma bonne dame.
Surtout quand on voit le sujet de ce même article (cherchez donc dans les archives, le 4 janvier 2019) . Et j'avoue que je ne comprends pas du tout...
De même, d'après les stats, dernièrement, les jours où FF, le Retour a été le plus consulté sont, dans l'ordre...Noël, le 17 décembre et le Jour de l'an !! étonnant, n'est-il pas ?
Bon, foin de ces considérations matérielles, et entamons l'année avec les...
Amistadiens Peuple. Espace Ralthahix
Les Amistadiens sont un peuple d’esclavagistes sans scrupules, originaires de l’espace Ralthahix, mais opérant sans vergogne dans tous les secteurs galactiques connus, et même dans les frontières de l’AMU ! Depuis quelques années, ils sont devenus une véritable plaie, et les Rangers ont fort à faire pour les traquer et les arrêter. Ils sont bien équipés, avec des vaisseaux rapides et mieux armés que les standards des pirates, et leurs bases sont difficiles à trouver car bien camouflées dans des champs d’astéroïdes ou sur des lunes isolées. Bref, ils font des adversaires de taille pour votre équipage, Amiral, utilisez les Amistadiens sans retenue !
Physiquement, ils sont grands et élancés, mais musclés et experts en combat au corps à corps. Leur peau est mate, et ils sont chauves le plus souvent. Pour paraitre plus effrayant, ils ont coutume de se tailler les dents en pointe. Ils possèdent 4 yeux : deux placés comme ceux des humains, deux sur pédoncules, et sont donc difficiles à surprendre.
Leur équipement se compose d’armes non létales, lance-cocons d’Oxo, pétrifouets, choqueurs ou matraqueurs Too-Moo, englueurs, projoweb…
Trait : Sans scrupules ; Habiles. Compétence : Entourloupes diverses ; Se battre avec classe.
Oh, et de bonnes âmes me susurrent à l'oreille que nous ne sommes pas le 14 février...
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